Oumarou Idani, ministre en charge des Mines du Burkina Faso, s’est, à l’ouverture des travaux, fondé sur la symbolique de la jarre trouée du roi Guézo pour expliquer la pertinence et l’importance d’une telle rencontre pour le développement des pays africains. Suivant son discours, chacun de ces pays doit apporter du sien, pour une mise en commun des énergies afin que les pays puissent profiter réciproquement de leurs expériences respectives.

Les participants à ce salon, pour la plupart, sont des acteurs des mines, des hydrocarbures et du pétrole, des responsables de multinationales et autres grands groupes s’investissant déjà ou en quête d’investissements.

Les patrons de multinationales, managers de grands groupes, acteurs des secteurs des mines et du pétrole sont réunis à Cotonou du 19 au 21 juillet 2018, à la faveur du Salon international des mines, des carrières et du pétrole (Semica), un rendez-vous de réflexion autour des enjeux et potentialités du sous-sol africain.

Les participants à ce salon, pour la plupart, sont des acteurs des mines, des hydrocarbures et du pétrole, des responsables de multinationales et autres grands groupes s’investissant déjà ou en quête d’investissements. Philippe Ouédraogo, président du directoire du salon, s’est particulièrement réjoui de la marque de confiance du gouvernement béninois aux organisateurs. Ces derniers promettent de faire en sorte que la destination Bénin soit prisée par les grands groupes, s’est-engagé Philippe Ouédraogo.

Sam Séidou Adambi, le ministre en charge des Mines du Bénin, prône quant à lui, une structuration dans le secteur pour en tirer le meilleur profit. Conscient des limites actuelles dans le secteur, il mise pour sa part, sur les réformes pour révéler les trésors miniers des pays. Lesquels, représentent en valeur le plus grand commerce au monde, selon Sam Séidou Adambi.

Oumarou Idani, ministre en charge des Mines du Burkina Faso, s’est, à l’ouverture des travaux, fondé sur la symbolique de la jarre trouée du roi Guézo pour expliquer la pertinence et l’importance d’une telle rencontre pour le développement des pays africains. Suivant son discours, chacun de ces pays doit apporter du sien, pour une mise en commun des énergies afin que les pays puissent profiter réciproquement de leurs expériences respectives.

Le ministre burkinabé décrie l’absence de projets transfrontaliers dans le secteur des mines. Il se plaint également du fait que dans les gouvernements, ce secteur soit logé à la plus mauvaise enseigne alors que les gouvernants espèrent en tirer un grand profit. Pour lui, le Semica devrait être le point de départ pour la promotion de solutions novatrices de coopération entre les pays. Il indique que « les ambitions ne peuvent se réaliser sans des choix forts ». Les participants ont convenu de clôturer le Semica par une « Déclaration de Cotonou » sur le développement des Mines et du pétrole en Afrique.

 

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