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Category Archives: Activités des membres

Commune de Dori : Quand l’or fournit l’eau à plus de 60 000 personnes

Le gouverneur de la région du Sahel, Salfo Kaboré, représentant le ministre de l’Eau, et l’ambassadrice du Canada au Burkina, Carol Vivian Mc Queen, ont inauguré, ce jeudi 3 juin 2021 à Yakouta, dans la commune de Dori, des ouvrages d’alimentation en eau potable réalisés dans le cadre du projet Eau et croissance économique durable dans la région du Sahel (ECED Sahel). Les infrastructures ont été financées à hauteur de 8 milliards de francs CFA par Affaires mondiales Canada (AMC), IAMGOLD Essakane et la Fondation One Drop.

Bonne nouvelle pour la ville de Dori et les treize villages environnants. Plus de 60 000 personnes bénéficient d’une fourniture en eau potable grâce à des investissements réalisés dans le cadre de la phase 1 d’un projet, né de la vision d’une figure de proue de la région du Sahel, feu Hama Arba Diallo. Il s’agit du projet Eau et croissance économique durable dans la région du Sahel (ECED-Sahel), un projet multisectoriel en agriculture, eau et assainissement de quatre ans (2015-2019), entrepris en collaboration avec Affaires mondiales Canada (AMC), IAMGOLD, la Fondation One Drop et le ministère de l’Eau et de l’Assainissement.

Ouvrages réalisés

Dans le cadre de ce projet, plusieurs ouvrages d’alimentation en eau potable ont été réalisés au profit de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA) pour les localités de Dori et de Yakouta. Il s’agit de la station de traitement d’une capacité de 230 m³/h comprenant entre autres la chambre de coagulation, le décanteur pulsa-tube, les filtres à sable ouverts munis de boîtes de partialisation, le système de lavage des filtres, les pompes de refoulement, la bâche de stockage d’eau traitée de 400 m³.

Des installations électromécaniques et électriques à la station de pompage de Yakouta et de la télégestion, une salle de stockage des réactifs, un laboratoire de contrôle qualité, un bureau et un logement pour le chef de station ont été également construits. Sans oublier la clôture de la station.

« Un projet catalyseur »

« C’est un projet structurant et catalyseur qui change la vie des gens, qui leur permet de s’épanouir. Et comme c’est un projet d’infrastructures, c’est un projet qui va durer longtemps et qui va changer profondément la vie des populations », a indiqué l’ambassadrice du Canada au Burkina, Carol Vivian Mc Queen, par ailleurs représentante de Affaires mondiales Canada (AMC), qui a financé à hauteur de six milliards de francs CFA la réalisation des ouvrages.

Une situation difficile dans le passé

Dans son discours lu par le gouverneur de la région du Sahel, le ministre de l’Eau a indiqué qu’avant la mise en œuvre du projet ECED-Sahel, le système d’approvisionnement était composé de trois forages d’un débit cumulé de 27 m³/h et de l’eau venant du barrage de Yakouta.

Aussi, le traitement des eaux de surface prélevées à Yakouta s’effectuait avec une station de traitement d’une capacité de 100 m³/h.

La satisfaction

« IAMGOLD Essakane SA est très fière d’avoir contribué à créer les conditions d’un futur meilleur pour les populations de sa région d’accueil, avec la mise en œuvre du projet ECED-Sahel », a déclaré Bruno Lemelin, vice-président principal Exploitation et Projets, avant de citer les autres partenaires que sont Affaires mondiales Canada et la Fondation One Drop, l’Agence d’exécution COWATER SOGEMA et l’ONEA à qui les infrastructures ont été transférées. Il n’a pas manqué de rendre un hommage à feu Hama Arba Diallo, car ECED-Sahel est tiré de sa vision.

L’engagement de IAMGOLD

Satisfaite des résultats de ce projet, IAMGOLD a indiqué qu’elle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La société a indiqué qu’elle ne ménagera aucun effort pour promouvoir une phase 2 afin d’offrir un accès similaire à l’eau jusqu’à Gorom Gorom et à Falagountou, complétant ainsi la vision initiale du Triangle d’eau.

« Aux yeux du Sahélien, l’eau brille encore plus »

« Les populations de Dori connaissent la valeur de l’eau potable et nous savons que les ressources en eau de notre localité sont difficiles à mobiliser. L’eau est aussi périssable que ce précieux métal qui a sans aucun doute permis la réalisation du projet. Mais aux yeux des Sahéliens, l’eau brille encore plus », a déclaré le maire de la commune de Dori, Ahmed Aziz Diallo. Il a rassuré les partenaires que la commune ne ménagera aucun effort pour sensibiliser les populations à une utilisation rationnelle de cette ressource périssable qu’est l’eau.

S’adressant toujours aux partenaires, l’édile de Dori les a encouragés à toujours poursuivre leurs actions pour que l’eau ne soit plus une illusion pour les Burkinabè.

Source Lefaso.net

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Fonds minier de développement local : La Commune de Gorom-Gorom à l’heure du bilan

Le Comité communal de suivi du fonds minier de développement local de Gorom-Gorom a fait, ce vendredi 12 mars 2021 à Ouagadougou, le bilan des réalisations financées par ledit fonds.

Les responsables du Comité communal de suivi du fonds minier de développement local de Gorom-Gorom rendent compte de leur gestion. Dans la matinée du vendredi 12 mars, réunis à Ouagadougou, ils ont passé en revue les réalisations faites sur la gestion du Fonds minier de développement local.

« Nous avons assisté à cet atelier initié dans le but de parcourir tous les projets qui ont été réalisés dans la Commune de Gorom-Gorom financés par le Fonds minier de développement local et les difficultés liés à la réalisation des projets », a indiqué d’entrée le maire de la commune de Gorom-Gorom, Ibrahim Ag Attahir.

Plusieurs réalisations au profit de Gorom-Gorom

Au cours de la rencontre, le maire Ag Attahir et son équipe ont présenté les réalisations faites au profit de sa commune. Il s’agit notamment de la construction de trois complexes sanitaires, de boutiques à Essakane-site, de bâtiments complémentaires pour le collège d’Essakane, des forages et de la clôture du cimetière d’Essakane-site. « Un CSPS (Ndlr, Centre de santé et de promotion sociale) est en cours de réalisation », a ajouté Ibrahim Ag Attahir.

Harmoniser les méthodes de travail

Gorom-Gorom fait partie des communes qui bénéficient des retombées de la mine d’Essakane. En 2020, la commune, selon son maire, a reçu 2 milliards de francs CFA.

Pour le représentant de la société IAMGOLD ESSAKANE S.A, Souleymane Boly, c’est une satisfaction pour sa structure de contribuer au Fonds minier de développement local. De 2017 à 2020, la mine a versé dans le panier commun plus de 9 milliards de francs CFA et compte continuer à respecter la législation minière au profit des communes.

Jacques Théodore Balima
Source Lefaso.net

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Fonds minier de développement local : Le Comité communal de Falangountou passe en revue les réalisations

Le Comité communal de suivi du fonds minier de développement local de Falagountou tient, à partir de ce jeudi 11 mars 2021 à Ouagadougou, sa session ordinaire au tour de la gestion du fonds minier de développement local.

Le nouveau code minier, adopté en 2015, a institué un fonds minier de développement local. Cette assiette financière est repartie auxs communes qui abritent des sociétés minières et aux autres.

En 2020, Falangountou, qui abrite la société minière IAMGOLD ESSAKANE S.A, a perçu plusieurs milliards de francs CFA. Une cagnotte qui a servi à réaliser des infrastructures au profit des communes.

Pour faire le point de la gestion de cet argent et dégager des perspectives pour les prochaines années, des représentants de la commune, de la société minière, des observateurs et de la société civile se sont retrouvés à Ouagadougou au cours d’une session ordinaire.

« Nous sommes réunis dans le cadre d’une rencontre de cadrage du Fonds minier de développement de la commune de Falangountou. Ce Fonds minier permet à la plupart de ces Communes de réaliser des infrastructures », a expliqué Maurice Konaté, Haut-commissaire de la province du Seno.

Au cours de l’année dernière, Falangountou a reçu, au titre du Fonds minier de développement local, près de 2 milliards de francs CFA. Pour le Haut-commissaire de la province du Seno, la manne financière a servi à réaliser des infrastructures socio-économiques pour les populations. Il s’agit entre autres de la construction d’une boulangerie, d’un collège d’enseignement général et de la réalisation de voies.

Satisfaction de la société IAMGOLD ESSAKANE

Pour la mine, qui a mis dans le panier commun, entre 2017 et 2020, près de 9 milliards de francs CFA, les réalisations sont satisfaisantes. Plusieurs communes dont Falangountou, Markoye, Gorom-Gorom et Dori, bénéficient des retombées de la mine.

Pour Souleymane Boly, représentant de la mine, il est aussi et surtout important de penser à l’avenir pour les populations. « Nous souhaitons aujourd’hui d’inscrire ces projets dans une perspective de préparation de l’après-mine en réalisant des investissements structurants notamment dans le domaine de l’eau, de l’éducation, de la formation, du développement de l’économie locale qui vont renforcer la résilience et permettre un développement après la fermeture de la mine », a-t-il indiqué.

Afin d’atteindre l’objectif qui est d’œuvrer au bien-être des populations avec les ressources minières, les participants vont, entre autres, passer en revue le fonctionnement du Fonds minier de développement local, le mécanisme de suivi, de communication et de redevabilité sur le Fonds minier de développement local et définir un calendrier de travail pour l’année 2021.

Jacques Théodore Balima
source Lefaso.net

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Secteur minier : Pour zéro incident, IAMGOLD Essakane s’engage

Pour la troisième année consécutive, la société IAMGOLD Essakane SA organise, du 7 au 10 décembre 2020, ses Journées « santé sécurité et environnement » (JSSE). Avec pour invité d’honneur le prix Nobel alternatif, Yacouba Sawadogo, cet événement est capital pour la société minière qui a pour première ressource, ses hommes et femmes. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le ministre de l’Energie, Bachir Ismaël Ouédraogo.

Samedi 30 novembre 2019, la vie de Zongo Mariam bascule. En voyage à Bobo-Dioulasso, elle est victime d’un accident de la circulation causé par l’éclatement d’un pneu à l’avant du véhicule. Grièvement blessée, elle est transportée d’urgence au Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo mais devra attendra cinq jours avant de bénéficier des premiers soins. Trop tard. Mariam est amputée du bras gauche. Elle aurait pu échapper à une telle souffrance si elle avait attaché sa ceinture de sécurité. Aujourd’hui, son histoire au-delà de l’émotion peut sauver des vies.

Renforcer l’engagement

A l’occasion donc de ses journées « santé, sécurité, environnement » placées sous le signe de l’engagement et de la responsabilité, IAMGOLD Essakane a invité la jeune dame ainsi que deux autres membres de l’association des victimes d’accident du Burkina Faso (AVABF) dont le président, Zamanoma Kaboré. A travers leurs témoignages, la société minière espère ainsi sensibiliser ses employés et renforcer leur engagement, eux qui demeurent sa première ressource.

« Nous devons tous être des préventionnistes et respecter les procédures »

« Protéger le travailleur est un investissement durable, car c’est lui qui est à la base du profit. Il est donc important d’investir sur sa sécurité et sa santé pour augmenter sa productivité », a soutenu le ministre de l’Energie, Bachir Ismaël Ouédraogo, patron de ces journées, parrainées par les ministres de l’Environnement et de l’Enseignement supérieur.

Selon le directeur des ressources humaines de IAMGOLD Essakane, William Ouédraogo, représentant le directeur général, le triptyque santé – sécurité – environnement est une nécessité pour chaque employé, sous traitant et gestionnaire qui doivent fournir davantage d’effort pour rendre l’environnement de travail plus sécuritaire. « Nous devons tous être des préventionnistes et respecter les procédures car c’est à ce prix que nous pourront inverser la tendance des accidents de travail. La santé et la sécurité sont de la responsabilité de tous », a rappelé le directeur des ressources humaines.

Programme des activités

Dans son allocution, le président du comité d’organisation des JSSE, Herman Zoungrana, dira que ses journées se tiennent dans le strict respect des mesures barrières et tiennent compte des différents types de rotations qui sont appliquées dans la compagnie minière. En plus des séances de sensibilisation sur la santé, la sécurité au travail et la protection de l’environnement, il est prévu au programme un dépistage de l’hépatite B et C, un don de sang et des jeux. Pour la cérémonie d’ouverture, les travailleurs de la mine et autres convives ont eu droit à une danse chorégraphie et un sketch joué par des acteurs de renom comme Justin Ouindiga alias « GSK », Moussa Sourgou alias « DG Pousbila » et Leila Tall.

« Un bon élève »

Selon le ministre en change de l’Environnement, Nestor Bassière, l’ensemble du dispositif permettant aux sociétés minières d’engager leur processus de réhabilitation est prêt. Un comité sera installé à cet effet pour plancher sur les différents plans de réhabilitation des mines déjà soumis au département de l’environnement.

Toujours selon le ministre, la mine d’or d’Essakane est « un bon élève » en matière de protection de l’environnement. « Elle fait partie des mines qui satisfont à l’ensemble des dispositifs demandés par le gouvernement, à savoir le transfert des fonds des banques commerciales vers la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et l’ouverture d’un compte au Trésor pour rapatrier l’ensemble des ressources cotisées par les mines en vue de leur réhabilitation prochaine », a expliqué le ministre de l’Environnement.

En marge des journées, des prix ont été décernés aux départements lauréats du concours de propreté et de bon ordre. En plus du département des 1200 logements, à Ouagadougou,, le département IT et technologie de l’information et le département entretien mobile ont tous reçu leurs prix des mains du prix Nobel alternatif, Yacouba Sawadogo, et du ministre Alkassoum Maiga.

Rappelons que cette édition des JSSE, qui prendra fin le jeudi 10 décembre 2020, à l’instar de celle de 2019, est ouverte aux partenaires externes de la compagnie minière qui exposent dans différents stands. Absent de la cérémonie d’ouverture, c’est par visioconférence que le directeur général de la mine, Mohamed Ourriban, est intervenu en demandant à tout le personnel de maintenir la vigilance face au Covid-19 en respectant toujours les mesures barrières.

Herman Frédéric Bassolé
Source: Lefaso.net

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ENDEAVOUR ET TERANGA ANNONCENT LEUR ASSOCIATION POUR CRÉER UN CHAMPION AURIFÈRE OUEST-AFRICAIN TOP 10 PRODUCTEUR D’OR MONDIAL

POINTS FORTS :

  • Endeavour et Teranga associent leurs entreprises pour créer un champion aurifère en Afrique de l’Ouest et un des dix premiers producteurs d’or au monde, avec des coûts de production très bas parmi les meilleurs du secteur › Une logique industrielle forte, avec des actifs très complémentaires

› Environ 7 000 employés, huit mines en production et six projets de développement dans trois pays

› Premier producteur d’or au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso, avec une production annuelle de 1,5 million d’onces

› Le plus grand portefeuille d’exploration en Afrique de l’Ouest avec une position stratégique sur les ceintures de Massawa, Ity et Hounde

› Des partenaires de choix en Afrique de l’Ouest, qui créent de la valeur et soutiennent les communautés locales

Abidjan et Toronto, le 16 novembre 2020 – Endeavour Mining Corporation (“Endeavour”) et Teranga Gold Corporation (“Teranga”) ont annoncé aujourd’hui la conclusion d’un accord par lequel Endeavour acquiert toutes les actions ordinaires de Teranga et, à terme, mènera à la réunification des deux sociétés. Cette combinaison donne naissance à un des dix premiers producteurs d’or au monde et à un champion aurifère en Afrique de l’Ouest. Sébastien de Montessus sera le président et le directeur général de la nouvelle société fusionnée.

Sébastien de Montessus, President and CEO of Endeavour, s’est exprimé: “Cette combinaison offre une opportunité de taille. En combinant nos actifs complémentaires en une compagnie agrandie, avec un profil de croissance organique robuste et une position de premier rang sur la très prometteuse ceinture birimienne de roches vertes, nous créons un champion aurifère en Afrique de l’Ouest et un producteur d’or parmi les dix premiers au monde. Nous sommes reconnus par les Etats d’Afrique de l’Ouest comme un partenaire de choix par notre engagement à employer des talents nationaux, à développer le leadership local et à travailler avec les parties prenantes de nos communautés d’accueil”.

Richard Young, President and CEO of Teranga, s’est exprimé: “Nous sommes très heureux des progrès réalisés ces dernières années pour faire passer Teranga d’un simple producteur d’actifs à un producteur d’or de niveau intermédiaire et à faible coût.

Nous sommes convaincus que nos employés et les parties prenantes dans le pays tireront profit de leur appartenance à une société minière plus grande et plus diversifiée, avec un parcours d’excellence. C’est un honneur d’avoir eu l’occasion de travailler avec les personnes, les communautés et les gouvernements de nos pays hôtes, le Sénégal, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire”.

CRÉATION D’UN NOUVEAU PRODUCTEUR D’OR DANS LE TOP 10 MONDIAL ET UN CHAMPION AURIFERE OUEST-AFRICAIN

La combinaison d’Endeavour et de Teranga crée un nouveau producteur d’or parmi les dix premiers producteurs mondiaux, avec une production annuelle moyenne de 1,5 million d’onces par an et des coûts de production faible par rapport à la moyenne de l’industrie.

Le nouveau groupe fusionné sera diversifié à travers huit mines principales en exploitation dans trois pays, et stratégiquement positionné comme le plus grand producteur d’or au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso.

Le groupe combiné disposera également d’une réserve de six projets entièrement nouveaux (Fetekro, Golden Hill, Afema, Kalana, Bantou et Nabanga) et du plus grand portefeuille d’exploration de la ceinture birimienne sous-explorée de roches vertes d’Afrique de l’Ouest.

 

REGROUPE DES ACTIFS TRÈS COMPLÉMENTAIRES

Sabodala-Massawa, le plus grand producteur d’or commercial du Sénégal, deviendra un actif phare aux côtés d’Ity et de Houndé, avec le potentiel de devenir un actif de premier plan étant donné sa haute teneur, son faible coût, sa longue durée de vie, ses réserves importante et son potentiel d’exploration significatif

Wahgnion, situé dans le sud-ouest du Burkina Faso, ajoutera une production immédiate et une diversification des flux de trésorerie, et bénéficiera d’importantes synergies en termes de coûts d’exploitation et d’efficacité dans le cadre de la plateforme ouest-africaine d’Endeavour, avec la possibilité de dégager une valeur supplémentaire par l’exploration et l’optimisation des actifs

Golden Hill, un projet d’exploration avancée au Burkina Faso, situé à distance de camionnage de la mine Houndé d’Endeavour, offre un potentiel important de capitaux et de synergies d’exploitation grâce à son développement en tant qu’opération satellite

Afema est un projet d’exploration qui progresse rapidement en Côte d’Ivoire – une mise à jour de l’exploration est attendue avant la fin de cette année avec une ressource initiale à suivre au premier trimestre 2021

LA PLANIFICATION D’UNE INTÉGRATION RÉUSSIE DOIT COMMENCER IMMÉDIATEMENT

Endeavour et Teranga commenceront immédiatement à planifier l’intégration de la nouvelle entreprise fusionnée afin d’assurer une transition et une intégration sans heurts et réussies dès la clôture de la transaction, prévue pour le premier trimestre 2021.

Le nouvel Endeavour élargi reste fidèle à sa politique de soutien aux acteurs locaux et de recrutement de ressortissants locaux, qui bénéficieront de possibilités de développement de carrière supplémentaires en faisant partie d’un des dix premiers producteurs d’or mondiaux.

Les marchés publics locaux continueront d’être une priorité pour la nouvelle entreprise combinée, qui a fait ses preuves en matière de soutien aux entreprises locales et nationales, avec plus de 1 100 fournisseurs ouest-africains fournissant des biens et services clés en 2019.

À PROPOSE D’ENDEAVOUR

Endeavour Mining est un producteur d’or avec des actifs multiples qui se concentrent sur l’Afrique de l’Ouest, avec deux mines (Ity et Agbaou) en Côte d’Ivoire, quatre mines (Houndé, Mana, Karma et Boungou) au Burkina Faso, quatre projets de développement potentiels (Fetekro, Kalana, Bantou et Nabanga) et un solide portefeuille d’actifs d’exploration sur la très prometteuse ceinture birimienne de roches vertes au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, au Mali et en Guinée.

En tant que producteur d’or de premier plan et membre du World Gold Council, Endeavour Mining s’engage à respecter les principes de l’exploitation minière responsable et à fournir une valeur durable à ses employés, aux parties prenantes et aux communautés où elle opère. Endeavour est cotée à la bourse de Toronto, sous le symbole EDV.

À PROPOSE DE TERANGA

Teranga Gold est un producteur d’or de niveau intermédiaire qui exploite des mines de longue durée et à faible coût de production et fait progresser les propriétés d’exploration potentielles à travers l’Afrique de l’Ouest, l’une des juridictions aurifères avec la croissance la plus rapide au monde. Le complexe aurifère de premier plan créé par l’intégration du projet Massawa à haute teneur récemment acquis avec la mine Sabodala de la société, la mise en service réussie de Wahgnion, la deuxième mine d’or de Teranga, et un solide portefeuille d’actifs d’exploration de la phase initiale à la phase avancée, y compris les projets Golden Hill et Afema qui progressent rapidement, soutiennent la croissance continue des réserves, de la production et des flux de trésorerie de Teranga. Grâce à son succès continu et à son engagement en faveur de l’exploitation minière responsable, et en tant que membre du World Gold Council, Teranga crée une valeur durable pour toutes les parties prenantes et agit comme un catalyseur pour le développement social, économique et environnemental. Teranga est cotée à la bourse de Toronto, sous le symbole TGZ.

COORDONNÉES

Pour de plus amples informations, veuillez contacter :

Endeavour Mining Corporation

Pascal Bernasconi

EVP – Affaires Publiques, RSE et Sécurité

+225 08 33 35 80

pascal.bernasconi@endeavourmining.com

Teranga Gold Corporation

Aziz Sy

Regional General Manager

+221 77 639 6706

aziz.sy@terangagold.com

 

 

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Ressources humaines au Burkina Faso : La Fondation SEMAFO mise sur les plus jeunes

L’éducation en générale et la formation technique, restent à n’en point douter, deux principaux leviers sur lesquels il faudra agir pour amorcer le développement véritable du Burkina Faso. Sur ce sentier combien noble, le pays peut compter sur la Fondation SEMAFO. À cet effet, l’ONG opte pour des projets porteurs. Avec une population à majorité jeune, la Fondation veut à travers ses interventions sur le terrain permettre au Burkina Faso de capter son dividende démographique. C’est d’ailleurs pour cette raison que les activités de distribution de kits scolaires, la formation professionnelle, l’entrepreneuriat, bref, tous les projets sont implémentés avec la participation effective des communautés bénéficiaires.   

 

8 heures, ce jeudi 1er octobre à l’école primaire bilingue de Wona. C’est la rentrée scolaire ! Retrouvailles pour les tout-petits, mais aussi pour le personnel enseignant. Les élèves les yeux hagards et braqués sur la voie principale attendent l’arrivée de leur « bienfaiteur » : La Fondation SEMAFO. Un bienfaiteur qui chaque année les dote en kits scolaires. Les minutes s’égrènent et les élèves s’impatientent.

Une heure après, soit à 9 heures, un véhicule transportant les kits scolaires fait son entrée dans la cour de l’école. C’est la joie ; la cérémonie de distribution peut commencer ! Après un cérémonial sobre, le top de départ est donné par les autorités. Chacun des élèves reçoit un kit scolaire composé entre autres de cahiers, de trousseaux, craies, ardoises, stylos, etc. Les élèves du CM2 en plus des kits scolaires ordinaires, reçoivent chacun une lampe solaire.

Ces kits scolaires correspondant au cartable minimum tel qu’on le dit dans le milieu éducatif Burkinabè, et sont très bien appréciés par l’inspecteur de l’enseignement primaire de la circonscription d’éducation de base du département de Bana, Siaka Koné.  En bon technicien, M. Koné affirme que cette dotation permet aux personnels enseignants de commencer les cours dans les délais et surtout de rattraper le temps perdu l’année dernière, du fait de la pandémie à corona virus. L’autre avantage de ces kits parvenant aux élèves en tout début d’année, est toujours selon l’inspecteur Koné, de permettre aux enseignants de terminer les programmes scolaires et de préparer au mieux les élèves à l’examen du CEP, le certificat d’étude primaire.

Réussite pour tous !

Donner les mêmes chances aux élèves de la campagne que ceux de la ville voilà comment le préfet du département de Bana, Moumouni Konseibo qualifie l’accompagnement de la Fondation SEMAFO en faveur de l’enseignement.

Les propos du préfet sont corroborés par Safiata Ira, élève en classe de CM2 à l’école primaire publique de Pompoï. Réussir comme ses camarades de la ville, c’est ce leitmotiv qui guide cette étoile, qui depuis le CP1 bénéficie de l’appui de la Fondation SEMAFO. Si la petite Safiata est devenue un modèle d’excellence dans sa commune, c’est en partie, grâce à l’accompagnement de la Fondation SEMAFO. Le défi pour l’étoile cette année, c’est de décrocher son CEP et l’entrée en 6e.

Le représentant de la Fondation SEMAFO au Burkina, Amidou Ouattara rassure de la disponibilité de sa structure à toujours soutenir l’école Burkinabè. Cela est, dit-il, d’autant plus important que la rentrée scolaire 2020-2021 se tient dans un contexte particulier au Burkina Faso, un contexte à la fois de crise sanitaire et sécuritaire, avec comme corollaires, une paupérisation grandissante de la population de façon générale. Ainsi la Fondation SEMAFO n’a pas hésité à dénouer les cordons de la bourse, et ce sont en tout 29 millions de francs CFA qui ont été dégagés pour permettre aux élèves de ses zones d’intervention des régions de la Boucle du Mouhoun et de l’Est de commencer sereinement la rentrée des classes. C’est au total 17 089 kits scolaires et 2 270 lampes solaires qui ont été distribués par l’ONG dès les premiers jours de la rentrée. En 11 ans, sans discontinuer, l’opération “kits scolaires” de la Fondation SEMAFO a permis à des milliers d’enfants à l’image de Safiata de réussir leurs parcours scolaires et académiques.

Voir grand !

Créer des modèles économiques viables à travers ses interventions, c’est cette vision qui guide les actions de la Fondation SEMAFO sur le terrain. Pour l’ONG, l’implémentation au quotidien de ses projets doit permettre aux populations de vivre dignement de leurs activités. Cela reste très perceptible dans le domaine de l’agriculture. En effet, dans ce secteur, le projet sésame a généré à lui seul plus de 500 millions de francs CFA au profit de 2 000 producteurs engagés pour la campagne agricole écoulée. Un chiffre qui devrait connaître une hausse cette année avec l’intégration des producteurs du village de Sienkoro dans le processus d’accompagnement. Pour les producteurs du village de Sienkoro qui bénéficient de l’appui des services techniques d’agriculture mandatés par la Fondation SEMAFO, c’est une grande satisfaction de recevoir officiellement un magasin de warrantage, et de pouvoir bénéficier de l’accompagnement d’une institution financière pour la mise en pratique du warrantage. Ce magasin de warrantage obtenu suite à une demande locale a été construit quelques mois plus tôt par la Fondation SEMAFO à hauteur d’environ 9 millions de nos francs. L’infrastructure permettra désormais d’améliorer les revenus des producteurs.

Projet après projet, l’institution s’assure que son accompagnement induit les résultats escomptés pour les communautés. C’est pourquoi les productrices de volaille qui avaient bénéficié d’un système de conservation de leur production reçoivent la visite du représentant de la Fondation. Il s’agit pour M. Ouattara de s’assurer que les deux congélateurs d’une capacité de 850 litres chacun mis à la disposition des groupements des femmes de Somona et de Dagouna fonctionnent normalement. « On ne peut pas faire un investissement de 5 millions de francs CFA à savoir deux congélateurs et un local, et ne pas faire un suivi », renchérit Amidou Ouattara. Selon le représentant pays de la Fondation, la philosophie de l’ONG est claire, accompagner les communautés jusqu’à leur autonomisation totale et cela passe par un contrôle et un suivi rigoureux des projets sur le terrain.

La même rigueur s’applique également chez les producteurs maraîchers et l’association des tisseuses et couturières de Somona.

La Fondation SEMAFO a mis en place deux jardins maraîchers dans les villages de Bissa et de Bana. Ces jardins, d’un hectare et demi chacun, sont clôturés et équipés d’un système solaire de pompage d’eau. Ils ont couté au total 33 millions de francs CFA à la Fondation. En dépit de quelques difficultés organisationnelles, les choses sont au beau fixe. Des difficultés qui devront être aplanies sous peu grâce aux efforts de l’ONG.

L’atelier de couture-tissage est un exemple de persévérance salué par la Fondation SEMAFO. Une jeune dame du nom de Minata Davou avait bénéficié d’une formation en couture financée par la Fondation. Sa formation terminée et son parchemin en main, Minata a mobilisé 9 autres femmes de son village. Ensemble elles mettent sur pied un atelier de tissage et de couture à Somona dans la commune de Bana. Un courage qui sera soutenu et accompagné par la Fondation à travers l’équipement dudit centre à hauteur de 2 millions de francs CFA.

Le plus grand défi de la Fondation SEMAFO après 11 années sur le terrain, c’est l’appropriation des projets par les bénéficiaires. Les signaux sont déjà aux verts ; des leaders se dégagent bien déjà dans chaque localité pour tirer le reste de la communauté vers le haut.

 

    Agence de Communication TITAN VISION

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Développement du capital humain au Burkina Faso : Endeavour Mining finance cinq bourses d’études supérieures en ingénierie

Dans sa volonté de contribuer positivement au développement des communautés impactées par ses projets aurifères, Endeavour Mining s’est résolument engagé à financer des projets et programmes destinés à valoriser l’excellence scolaire. Le Programme des bourses d’excellence Endeavour Mining s’inscrit dans cet engagement. Il s’adresse essentiellement aux élèves des classes de Terminales Séries C et D des zones impactées par les projets aurifères du groupe minier au Burkina Faso.

« Endeavour Mining a défini l’éducation comme un pilier important de sa politique de responsabilité sociale et contribue à l’amélioration du capital humain dans ses pays d’accueil. Ces bourses d’études supérieures en ingénierie octroyées à ces cinq étudiants burkinabé traduisent notre engagement à développer le capital humain et également à soutenir les efforts du gouvernement Burkinabé », a déclaré Adama SORO, Directeur Pays d’Endeavour Mining au Burkina Faso.

Ce programme vise à former de futurs ingénieurs compétents et compétitifs sur le marché de l’emploi et à offrir au Burkina un vivier de compétences dans le domaine des mines entre autres.

Lancé au Burkina Faso en 2017 en partenariat avec le CPGE Lasalle (Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles de La Salle), ce programme a accueilli six étudiants boursiers d’Endeavour pour sa phase pilote.

A ce jour, 18 étudiants issus de familles modestes, venant des lycées et collèges des zones impactées par les mines de Houndé (Province du Tuy, région des Hauts-Bassins) et de Karma (province du Yatenga, région du Nord), ont été sélectionnés pour les deux années de Classes Préparatoires aux Grandes Écoles de l’Institut de Lasalle. Endeavour base sa sélection sur des critères rigoureux comme le résultat à l’examen du Baccalauréat et la moyenne scolaire des trois années précédant la classe de Terminale. Ces 18 étudiants sont totalement pris en charge par Endeavour au cours de ces deux années de classes préparatoires et les meilleurs de chaque promotion bénéficient ensuite de bourses d’excellence pour la poursuite de leur cursus au Burkina Faso ou à l’étranger. Parmi ces 18 boursiers, cinq étudiants ont bénéficié de bourses d’excellence pour poursuivre des études d’ingénieur dans deux établissements prestigieux : l’institut d’Ingénierie de l’Eau et de l’Environnement (2iE) au Burkina Faso et l’institut Polytechnique UniLaSalle de Beauvais en France.

L’étudiant NIKIEMA Jérémie, major de la promotion 2018-2020, a obtenu la bourse d’excellence Endeavour pour effectuer des études en cycle Ingénieur, Spécialité Science de la Terre et Environnement, pour une durée de trois ans à l’institut Polytechnique de Beauvais. Il s’est envolé début Octobre 2020 pour la France.  « Je suis reconnaissant à Endeavour pour cette bourse qui me permet de poursuivre des études d’ingénieur dans la filière qui correspond à mes ambitions », a affirmé Jérémie.

TUINA Isaac a également bénéficié d’une bourse d’excellence pour poursuivre ses études en cycle Ingénieur, spécialité Génie Electrique et Energétique à l’institut 2iE de Ouagadougou. Il vient d’entamer son année scolaire 2020-2021 dans cet institut de renommée panafricaine.

Il y rejoint les étudiants NIKIEMA Nathanaël et SAWADOGO Zakaria, tous deux inscrits également au sein de l’institut 2IE au cours de l’année scolaire 2019-2020 grâce à la bourse d’excellence Endeavour pour une formation d’ingénieur en trois ans.

A travers ce programme Endeavour Mining veut contribuer de façon significative au développement du capital humain du Burkina Faso.

La dernière promotion 2020-2022 composée de six étudiants, dont deux filles, qui vient de commencer les cours en classes préparatoires « promet de bons résultats en fin d’études préparatoires afin d’encourager Endeavour à investir davantage dans le capital humain », a déclaré le représentant de cette promotion.

A date, Endeavour Mining a investi plus de 175,8 millions de FCFA dans ce programme de bourses scolaires.

Source l’Economiste du Faso  du 12 octobre 2020

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Lutte contre le Covid-19 : IAMGOLD Essakane offre dix respirateurs au ministère de la Santé

Dans le cadre de l’appui au gouvernement burkinabè dans la lutte contre le Covid-19, la compagnie minière IAMGOLD Essakane SA a offert dix respirateurs, d’une valeur de 100 millions de Fcfa, au ministère de la Santé. La cérémonie de remise a eu lieu le mercredi 7 octobre 2020, en présence de l’ambassadrice du Canada, Carol Vivian McQueen, et du directeur de cabinet de la ministre de la Santé, Emmanuel Sorgho.

Joindre l’acte à la parole. C’est ainsi que l’on peut résumer l’acte posé par la compagnie canadienne IAMGOLD Essakane SA. Ce sont au total dix respirateurs et leurs accessoires qui ont été remis au ministère de Santé par le vice-président principal d’IAMGOLD Corporation pour les affaires internationales et le développement durable, Oumar Toguyeni. D’une valeur de 100 millions de F CFA, ce don fait partie d’une série d’accompagnements apportés par la société minière dans cette lutte depuis l’apparition de la maladie.

L’ambassadrice du Canada au Burkina, Carol Vivian McQueen, a salué cet élan de solidarité qui traduit l’excellence des relations entre la compagnie minière et ses parties prenantes nationales et locales.
Bien qu’arrivés tardivement, ces respirateurs, selon Oumar Toguyeni, pourront servir à soigner d’autres maladies. Même son de cloche chez le directeur de cabinet de la ministre de la Santé, Emmanuel Sorgho. « Ce don est d’une grande valeur et nous permet de redoubler de vigilance dans la lutte, car la maladie existe toujours », a-t-il déclaré. On observe actuellement une baisse du respect des mesures barrières, alors que la maladie sévit toujours. En témoignent les nouveaux cas d’infection enregistrés ces derniers jours.

Profitant de l’occasion, Emmanuel Sorgho a invité la population burkinabè à persévérer dans le respect des gestes barrières en vue d’éviter un éventuel rebond du nouveau coronavirus. Aussi, il a rassuré le donateur que ces respirateurs seront utilisés à bon escient pour la bonne santé de la population.
A retenir que parmi ces dix respirateurs, deux sont destinés à la Direction régionale de la santé du Centre. Outre ce don, IAMGOLD Essakane SA contribue à la lutte contre le Covid-19 à travers plusieurs actions, notamment le don de divers produits et équipements de protection au Centre hospitalier régional de Dori d’une valeur de plus de 23 millions de FCFA. A cela s’ajoute sa contribution, à travers la Chambre des mines du Burkina, aux efforts de soutien au gouvernement burkinabè dans la lutte anti-Covid-19.

Judith SANOU
Sarah KABORE (stagiaire)
Source Lefaso.net

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Covid-19 : Le groupe Endeavour Mining offre des équipements au CHU Yalgado-Ouédraogo

Dans le cadre du respect de ses engagements envers le gouvernement burkinabè, le groupe Endeavour Mining a offert, le vendredi 2 octobre 2020, des équipements au laboratoire de virologie de l’hôpital Yalgado-Ouédraogo. D’un coût global de 79 millions de F CFA, ce don est composé d’un extracteur automatique et de réactifs en vue de faciliter les tests de Covid-19.

Le laboratoire de virologie du Centre hospitalier universitaire Yalgado-Ouédraogo (CHU-YO) dispose désormais d’un extracteur automatique. C’est l’œuvre du groupe Endeavour Mining qui, dans un élan de solidarité, a doté l’hôpital de cet équipement. Il s’agit, selon le directeur pays du groupe minier, Adama Soro, de la réalisation d’une promesse que le groupe avait faite à l’Etat burkinabè.

Endeavour Mining avait en effet promis de soutenir le Burkina à hauteur de 880 millions de F CFA dans le cadre de la riposte au Covid-19. « Nous sommes entrés en contact avec les autorités sanitaires pour identifier leurs besoins. Cela a été fait. Et en collaboration avec les différentes structures, les commandes ont été faites et nous sommes heureux de procéder aujourd’hui à la remise symbolique de cet équipement », a déclaré Adama Soro.
D’un coût global de 79 millions de F CFA, ce don, composé essentiellement d’un extracteur automatique et de réactifs, permettra de renforcer le plateau technique du CHU et d’augmenter les capacités d’analyse des prélèvements pour la détection du coronavirus. Outre le Covid-19, cet appareil est également utile pour le diagnostic d’autres maladies virales de même qu’en matière de recherche biomédicale.
Un pas de plus dans la modernisation de l’hôpital.

Pour le directeur général de l’hôpital, Constant Dahourou, ce don vient redynamiser le travail des agents et révolutionner les procédures et manières de faire les tests du Covid-19. Son utilisation permettra d’obtenir plus rapidement les résultats des différents tests effectués et d’accroître l’offre de service de l’hôpital, à travers sa modernisation. « Notre vision, c’est de devenir et rester le meilleur CHU du Burkina en matière de soins, d’enseignement et de recherche scientifique en santé. Donc, cet appareil va nous aider dans ces trois domaines », a-t-il ajouté. Même son de cloche chez le chef du département des laboratoires et du service de bactériologie et virologie, Pr Lassana Sangaré, qui a remercié le donateur au nom de son équipe.

A l’en croire, ce don va au-delà de leurs espérances en ce sens qu’il vient réduire le temps de travail au niveau des laboratoires. Aussi, l’appareil garantit la qualité du produit fini qui n’est pas à comparer avec les techniques manuelles. Outre le CHU Yalgado-Ouédraogo, l’hôpital Souro-Sanou de Bobo Dioulasso et le Centre hospitalier régional de Ouahigouya, ainsi que 18 autres centres de santé dans les régions des Hauts-Bassins et du Nord, ont aussi bénéficié des dons de la société minière Endeavour Mining.

Judith SANOU
Source Lefaso.net

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Ecole Supérieure d’Ingénieurs de l’Université de Fada N’Gourma : la société minière IAMGOLD Essakane SA soutient le perfectionnement des élèves-ingénieurs

Les étudiants de la première promotion de l’Ecole Supérieure d’ingénieurs (ESI) de l’Université de Fada N’Gourma, bénéficiaire d’un partenariat de stage de perfectionnement avec la société minière IAMGOLD Essakane SA ont soutenu leur master le 29 Août 2020.

Cette série de soutenances a été rendue possible grâce au partenariat qui existe entre l’Ecole Supérieur d’ingénieurs de Fada et IAMGOLD Essakane SA.

En effet, les responsables de la société minière Canadienne ont offert un programme d’enseignement bénévole en appui à la formation de étudiants de l’ESI et ont facilité l’obtention de stages de perfectionnement aux étudiants au sein de la mine Essakane.  Toute chose qui a leur permis de soutenir leurs mémoires de Master devant des jurys professionnels présidés par l’ancien président de l’Université de Fada N’Gourma, le Pr Martin LOMPO.

La soutenance a concerné onze (11) étudiants dont (02) deux filles. Cette promotion a obtenu 02 mentions très honorable, 06 mention honorable, 01 mention très bien et 02 mention bien.

Secrétaire à l’information et à la communication/CIM

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