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Autorisation de prospection

Procédure d’attribution

Demande : adressée au Ministre chargé des Mines, en trois exemplaires.

Dossier constitutif de la demande :

  • l’identité et domicile du demandeur ou de son représentant ;
  • la définition des sommets du périmètre demandé ;
  • la superficie ;
  • l’extrait de la carte topographique au 1/200 000 situant le périmètre de la demande ;
  • la preuve que le demandeur n’est ni en faillite ni en liquidation judiciaire ;
  • une note précisant l’objet de la prospection assorti du programme des travaux envisagés pour la 1ère période de validité ;
  • le récépissé de versement du droit fixe est à présenter dans un délai de 10 jours ouvrables après acceptation de la demande.

Attribution : par décision du Directeur Général des Mines, de la Géologie et des Carrières.

Durée de validité : 1 an, renouvelable autant de fois que requis par son bénéficiaire.

Délai d’instruction de la demande : 1 mois au maximum après la fourniture du dossier complet de demande.

Procédure de renouvellement

Demande : adressée au Ministre en charge des Mines, en trois exemplaires.

Dossier constitutif de la demande :

  • un rapport présentant les résultats des travaux exécutés pendant la dernière période de validité ainsi que le programme de travaux envisagés pour la prochaine période.
    Le récépissé de versement du droit fixe ;
  • La définition des nouvelles limites de l’autorisation ainsi qu’extrait de la carte topographique au 1/200 000 au cas où le bénéficiaire désirerait réduire la superficie de son autorisation.

Attribution de renouvellement : par décision du Directeur Général des mines, de la Géologie et des Carrières.

 

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Permis de recherche

Dossier constitutif de la demande :

  • une demande adressée au Ministre chargé des Mines ;
  • l’identité et domicile du demandeur ou de son représentant ;
  • les substances minérales recherchées ;
  • la définition des sommets du périmètre demandé ;
  • la superficie sollicitée qui doit être inférieure à 250 km2 ;
  • l’extrait de la carte topographique au 1/200.000 situant le périmètre de la demande ;
  • la preuve que le demandeur n’est ni en faillite ni en liquidation judiciaire ;
  • le programme de travaux que le demandeur se propose d’effectuer pendant la 1ère année de validité du permis ;
  • le récépissé de versement du droit fixe est à présenter dans un délai de 10 jours ouvrables après acceptation de la demande .

Attribution : par arrêté du Ministre chargé des Mines

Durée de validité : 3 ans, renouvelable 2 fois pour une période de 3 ans ;

Délai d’inscription de la demande : 2 mois au maximum après le dépôt du dossier complet de la demande.

 

Procédure de renouvellement

Demande : déposée du Service du Cadastre Minier en 3 exemplaires contre récépissé, au moins 3 mois avant l’expiration de la période de validité.

Dossier constitutif de la demande :

  • une demande adressée au Ministre chargé des Mines ;
  • le ou les substances pour lesquels le renouvellement est sollicité ;
  • le programme de recherches envisagés pour l’année suivante ;
  • le récépissé de versement du droit fixe ;
  • la définition du périmètre et la superficie correspondante en cas de réduction de la superficie.

NB : au 2ème renouvellement, la superficie du permis doit être réduite d’au moins le quart par rapport à la superficie initiale à l’attribution.

Attribution : par arrêté du Ministre chargé des Mines

Délai d’instruction de la demande de renouvellement : 3 mois au maximum après la fourniture du dossier complet de la demande.

Autres possibilités offertes aux titulaires :

Extension à d’autre substances : peut être demandée à d’autres substances que celles qui sont mentionnées dans l’arrêté d’attribution ou de renouvellement.

Extension du périmètre géographique : peut être sollicité à la condition que le périmètre demandé soit contigu au périmètre du permis initial et que la superficie global ne dépasse pas 250 km².

Cession : sur demande adressée au ministère chargé des mines, instruite en s’assurant que le cédant a satisfait aux obligations en matière de travaux et que le cessionnaire offre, par rapport au cédant, au moins les même garanties d’exécution des obligations.

Transmission : sur demande adressée par le ou les héritiers au ministère chargé des mines dans un délai de 6 mois après le décès du titulaire.

Renonciation partielle et totale : en tout temps autorisée mais doit toutefois être acceptée par l’Administration de mines

 

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Permis d’exploitation

Procédure d’application

  • Demande : déposée au Service du Cadastre Minier, en trois exemplaires, contre récépissé ;
  • peut intervenir à tout moment pendant la période de validité du ou des permis de recherche.

Dossier constitutif de la demande :

  • une demande adressée au Ministre chargé des Mines,
  • les substances correspondantes aux gisements pour lesquels le permis est sollicité ;
  • la définitions des sommets de périmètre demandé ainsi que la superficie ;
  • la localisation du périmètre du permis demandé sur une carte topographique au 1/200 000 ;
  • un plan de détail à une échelle appropriée où les coordonnés des sommets du périmètre sont rattachés à des points biens définis ;
  • un mémoire indiquant les résultats des travaux effectués et dépenses engagées lors de la dernière période de validité ;
  • une étude faisabilité, une étude d’impact sur l’environnement et un programme de réhabilitation des sites à exploiter ;
  • l’engagement du demandeur , en cas d’octroi du permis d’exploitation, à l’attribution de 10% de parts ou d’actions d’apports de la société d’exploitation ;
  • le récépissé de versement du droit fixe.

Attribution : par décret pris en Conseil des Ministres après enquête publique

Durée de validité :

  • permis d’exploitation individuelle valable pour 20 ans, renouvelable tous les 5 ans jusqu’à épuisement des réserves.
  • Permis d’exploitation à petite échelle valable pour 10 ans, renouvelable tous les 5 ans jusqu’à épuisement des réserves.

Délai d’instruction de la demande : un maximum de 4 mois entre le dépôt de la demande et sa présentation au Conseil des Ministres.

Procédure de renouvellement

Demande : déposée au Service du Cadastre Minier en 10 exemplaires contre récépissé, au moins trois mois avant l’expiration de la période de validité en cours.

Dossier constitutif de la demande :

  • une demande adressée au Ministre chargé des Mines ;
  • la situation géographique exacte du ou des gisements pour lesquels le renouvellement est sollicité ;
  • un rapport attestant le maintien de l’activité pendant la période qui expire ;
  • un rapport des travaux effectués sur le permis avec l’appui de tous plans et documents d’exploitation ;
  • une actualisation du plan de développement et d’exploitation du gisement ;
  • un rapport sur les éventuels travaux de recherches entrepris et l’état des réserves des gîtes exploités ;
  • le récépissé de versement du droit fixe.

Attribution du renouvellement : par décret pris en Conseil des Ministres.

Délai d’instruction de la demande de renouvellement : un maximum de 4 mois entre le dépôt de la demande et sa présentation en Conseil des Ministres.

Autres possibilités offertes aux titulaires :

Extension du périmètre géographique : peut être sollicitée à la condition que le périmètre demandé soit contigu au périmètre du permis du initial et ayant un superficie ne dépassant pas la moitié de celle du titre en vertu duquel la demande est présentée.

Cession :

  • ne peut être envisagée qu’en faveur d’une personne morale constituée en vertu des lois du Burkina et y avoir son siège social ;
  • sur demande adressée au ministère chargé des mines, instruite en s’assurant que le cédant a satisfait aux obligations en matière de travaux et que le cessionnaire offre, par rapport au cédant, au moins les mêmes garanties d’exécution des obligations.

Renonciation partielle et totale :

En tout temps autorisée mais doit toutefois être acceptée par l’Administration des mines.

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Les potentialités minières

Potentialités minières

La production minière concerne essentiellement l’or. L’or existe un peu partout sur l’ensemble du territoire national, à côté de nombreuses autres ressources minières, notamment le zinc, le manganèse, le cuivre, le fer…

  • La quantité d’or exporté était de 12,5 tonnes en 2009 et de 23,5 tonnes en 2010 ;
  • A partir de 2011, la quantité moyenne annuelle d’or exporté s’établira autour de 40 tonnes jusqu’en 2014
  • Production totale escomptée des mines actuelles : au moins 260 tonnes d’or métal.

Nous vous proposons ici quelques exemples:

1. Gemmes et métaux précieux

  • Diamant dans la région de Barsalogo(Sanmatenga) et dans la rivière(Comoé);
  • Or dans toutes les zones ou le birimien est représenté et en particulier :
    • le district aurifère de Poura(Balé);
    • le district aurifère de Dori-Yalogo(Namentenga);
    • le district aurifèred’Arbinda(Soum);
    • le district aurifère de Dossi-Kiéré(mouhoun);
    • le district aurifère d’Essakane(Oudalan);
    • le district aurifère de Bouloulou-Bouda-Koupéla Nagséné-Patiri(Passoré),
    • le district aurifère et sulfuré de Kwademen(Sanguié) etc…

2. Métaux  ferreux

  • le Manganèse
    • le manganèse de Tambao(Oudalan);
    • le manganèse de Kiéré(Mouhoun);
  • la Magnétite
    • la magnétite Vandifère d’Oursi(Oudalan).
  • le Nickel
    • Nickel de Boanga(Sanguié);
    • Nickel de Dablo(Sanmatenga).

3. Métaux non ferreux

  • le cuivre
    • le gîte de Diénémera-sud et Gongady(Poni);
    • le gîte de Wayen(Ganzourzou);
    • le gîte de cuivre et molybderie de Goren(Sanmatenga).
  • Antimoine
    • l’antimoine de Mafoulou(Sanmatenga).
  • Plomb
    • l’indice de pomb de Gan(Sourou).
  • Zinc
    • le gisement de zinc de Perkoa (Sanguié)
  • aluminium
    • les bauxtes blanches de la région de kaya;
    • les indices de Kosso,Fara,N’Dorola,Séguénéga,Sabou,Lahirasso etc…

4. Les substances non métalliques

  • Les Phosphates
    • Phosphates de Kodjari(Tapao);
    • Phosphates d’Arli(Tapoa);
    • Phosphates d’Arloubdjouna(Tapao).
  • Les Matériaux Calcaires
    • Samandéni,Tiara;
    • Tin Hrassan.
  • Les Sables Silicieux
    • Les sables silicieux situés à l’entrée de Bobo-Dioulasso ont fait l’objet d’une étude par le BUMIGEB suite à un financement de l’ONUDI
      L’étude a montré qu’une exploitation éventuelle pourra disposer de 370000 tonnes de sable.
  • Le Kaolin et les argiles réfractaires
    • Les indices ayant fait l’objet de prospection pour le kaolin sont ceux de Titao(Yatenga),de Koreba de la région de Bobo-Dioulasso.
  • Les Pierres ornementales
    • Les reconnaissances sommaires ont mis en évidence plusieurs sites importants de granites, granodiorites,syénites et dolomies pouvant faire l’objet d’une exploitation.

5. Les substances énergétiques

  • L’Uranium
    • L’existence d’un gisement économique est hypothétique.
  • La Tourbe
    • La présence de Tourbe a été signalée dans la vallée du fleuve Sourou.Aucune étude n’a été entreprise jusqu’à ce jour.
  • Les Schistes graphiteux
    • Des analyses d’orientation sur les gîtes de Korsimoro(Sanmatenga), Semapoum(Sanguié) montent que ces roches ont des teneurs en carbone et des pouvoirs calorifiques propices à l’utilisation comme matière combustible.Un comité de suivi et d’évaluation des potentialités a été créé.
  • Le Pétrole
    • Aucue étude n’a été entreprise pour le moment.cependant la partie Ouest et Nord du Burkina Faso, qui est à une bordure du bassin pétrolifère de Taoudéni mérite d’être prospecté.
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Climat des investissements

Le climat des investissements est marqué par:

  • l’engagement des plus hautes autorités du pays, principalement le Président du Faso, à booster l’investissement et la croissance. Pour marquer cet engagement, le Président du Faso a mis en place le Conseil Présidentiel pour l’Investissement dont l’ambition est de parvenir à très moyen terme à des taux d’investissements soutenus de 30 à 35% du PIB, contre 17 aujourd’hui et à des taux d’investissements étrangers directs de 5 à 7% du PIB, contre un taux actuel de 0,9%.
  • Une Stabilité politique et institutionnelle, paix et cohésion sociale depuis plus de 2 décennies ;
  • Un Cadre macroéconomique sain ;
  • Une option affirmée pour l’économie libérale ;
  • Une stabilité monétaire assurée par la parité fixe du franc CFA par rapport à l’Euro et l’appartenance à une Union Economique et Monétaire (UEMOA)
  • Un code de travail garantissant la liberté d’embauche, d’emploi et de licenciement ;
  • L’institution de la rencontre annuelle Secteur Privé-Gouvernement ;
  • La mise en place d’une Agence Nationale de Promotion des Investissements ;
  • La mise en place de fonds nationaux : Fonds Burkinabè de Développement Economique et Social (FBDES), Fonds de Promotion de l’Emploi, fonds d’Appui au Secteur Informel ;
  • La création de nombreux organismes d’appui au secteur privé :
    • Maison de l’Entreprise du Burkina Faso (MEBF),
    • Centre d’Arbitrage, de Médiation et de Conciliation de Ouagadougou (CAMC-O) ;
    • Centre de Formalités des Entreprises (CEFORE : réduction du délai de création d’entreprises à une semaine) ;
    • Centres de Facilitation des Actes de Construire (CEFAC) ;
    • Guichet Unique du Foncier : simplification de la procédure de délivrance des titres fonciers ;
    • Centres de Gestion Agréés (CGA) ;
    • Chambre des Métiers de l’Artisanat ;
    • Bureau de Restructuration et de Mise à Niveau ;
    • Adoption d’une stratégie globale de réformes de la politique fiscale dont les objectifs : simplification des procédures, réduction des taux d’imposition, suppression des droits d’enregistrement sur tous les actes constitutifs et modificatifs de sociétés, création d’un impôt sur les sociétés, adoption d’un livre de procédures fiscales…
  •  La révision en 2010 du Code des Investissements pour le rendre plus attractif ;
  • Un Code Minier très attractif ;
  •  L’adoption et mise en œuvre du Plan d’Action National pour la Réforme Juridique
  • L’adhésion du Burkina à l’OHADA depuis 1998 avec comme objectif de remédier à l’insécurité juridique et judiciaire
  •  La mise en place du Programme Doing Business Better in Burkina Faso ;
  •  Etc…

En outre, dans sa volonté d’améliorer la sécurisation des investisseurs, le Burkina Faso a signé des conventions de protection des investissements avec plusieurs pays. L’objectif de ces accords est d’encourager et de protéger les investissements étrangers, et d’instaurer un cadre légal qui définisse les conditions de promotion et de protection des investissements effectués par les investisseurs, ressortissants d’un des pays parties à la convention.

Ces accords assurent la protection de certains droits fondamentaux des investisseurs.

Pour plus d’informations sur le climat des investissements au Burkina, vous pourrez consulter les sites de la Chambre de commerce et d’industrie, de la Maison de l’entreprise et du du Ministère des Mines,des Carrières et de l’Energie

Plus de détails: Site web du Conseil Présidentiel pour l’Investissement

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Installation officielle des membres de la CMB

Sous le Haut patronage de SEM le Premier Ministre, Sous Parrainage de M. le Ministre des Mines, des Carrières et de l’Energie et sous le co-parrainage de M. Ministre de l’Economie et des Finances et de Ministre de l’Environnement et du Développement Durable
Aura lieu le vendredi 30 septembre à partir de 9h AzalaÏ Hôtel Independence de Ouagadougou, l’installation officielle des membres de la chambre des mines du Burkina

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LES CONDITIONS D’ADHESION A LA CHAMBRE DES MINES

Peut devenir membre de la Chambre des Mines du Burkina :

  • Toute personne physique ou morale titulaire d’un titre minier attribué conformément au Code Minier du Burkina Faso ;
  • Tout représentant d’associations ou de coopératives de détenteurs d’autorisation d’exploitation artisanale traditionnelle ou d’autorisation  de prospection ;
  • Toute société de géo services ou toute personne physique ou morale agissant à titre de consultant impliqué dans les activités minières et opérant au Burkina Faso ;
  • Tout fournisseur de biens ou services aux membres titulaires ;
  • Tout représentant d’associations ou de coopératives de détenteurs d’autorisation d’exploitation artisanale traditionnelle ou d’autorisation  de prospection;
  • Toute personne physique ou morale qui souhaite devenir membre de la Chambre des Mines doit formuler une demande écrite adressée au Conseil d’Administration. Cette demande doit être accompagnée des informations concernant les activités  du demandeur;

    L’adhésion est prononcée par le conseil d’administration et entérinée par la plus prochaine assemblée générale.

    Elle implique l’acceptation des Statuts et du Règlement Intérieur de la Chambre des Mines et le paiement des droits d’adhésion.

     

    Télécharger les statuts de la CMB

    Télécharger le Règlement intérieur de la CMB

    Télécharger le formulaire de demande d’adhésion

     

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LES TYPES DE MEMBRES DE LA CHAMBRE DES MINES DU BURKINA

La Chambre des Mines du Burkina comprend des membres  titulaires, membres associés, membres affiliés et membres d’honneurs

Les membres titulaires

Les membres titulaires comprennent toutes les personnes physiques et/ou morales de droit Burkinabé, titulaires de titres miniers relatifs à la prospection, la recherche ou l’exploitation minière et l’exploitation de carrières, conformément au Code Minier du Burkina Faso, qui adhèrent à la Chambre des Mines du Burkina, prennent une part effective à ses activités et s’acquittent régulièrement de leurs cotisations.

Ils se répartissent selon les catégories suivantes :

  • Les membres titulaires du groupe A : détenteurs d’un permis d’exploitation industrielle de grande mine en phase de production commerciale ;
  • Les membres titulaires du groupe B : détenteurs d’un permis d’exploitation industrielle de grande mine en  construction ;
  • Les membres titulaires du groupe C : détenteurs d’un permis d’exploitation industrielle de petite mine  et/ou d’une autorisation d’exploitation permanente de carrières et/ou d’un permis de recherche ;
  • Les membres titulaires du groupe D : détenteurs d’un permis d’exploitation artisanale semi mécanisée, représentants d’associations et/ou coopératives de détenteurs d’autorisations d’exploitation artisanale traditionnelle ou d’autorisation de prospection.

Les membres associés

Les membres associés sont les sociétés de géo services impliquées dans les activités géologiques et minières au Burkina Faso ; et les détenteurs d’un agrément de comptoirs d’achat d’or.

Sont également membres associés, les Ministères chargés respectivement des Mines, des Finances et de l’Environnement.

Les membres affiliés

Les membres affiliés sont les personnes physiques ou morales qui fournissent des biens et services au titulaire d’un titre minier sans accomplir un acte de production ou de prestation de services se rattachant aux activités principales du titulaire du titre minier.

La qualité de membre affilié ne donne droit  ni à être électeur, ni à être éligible. Cependant, les membres affiliés participent aux activités  de  la Chambre et peuvent être invités à participer à certaines instances en raison de  leurs compétences.

Les membres d’honneur

Les membres sont les personnes physiques ou morales qui, bien que n’étant ni membres titulaires, ni associés, ni affiliés au sein de la Chambre des Mines du Burkina, lui rend cependant des services appréciables sur le plan financier, technique, administratif et/ou social.

Les membres d’honneurs ne sont ni éligibles ni électeurs.

 

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Mot de bienvenue

La Chambre des Mines du Burkina (CMB) est heureuse de mettre à la disposition des publics national et international, un outil d’informations fiables et utiles sur le secteur des mines.
Le Burkina Faso s’est hissé au rang des pays africains riches en ressources minières. De ce fait, l’accès à l’information est essentiel dans le but de garantir la transparence et l’équité dans la gestion de ces ressources et assurer la promotion des différents acteurs.
En prenant l’initiative de la création de ce site, la Chambre des Mines du Burkina place au rang de ses objectifs majeurs, la communication et les échanges d’informations relatives aux questions minières avec d’autres chambres des mines, les institutions nationales et organisations internationales en rapport avec l’industrie minière en Afrique et dans le monde.


Notre vœu, c’est que ce site soit pour tous, un cadre stratégique d’informations à la fois pertinentes et claires tant sur les ressources minières du Burkina Faso que sur l’ensemble des acteurs miniers à travers les industries extractives de notre pays.


Par ailleurs, l’ambition de ce site, c’est de constituer une banque de données disponibles à tout moment et lieu, pour l’enrichissement des travaux de recherches sur le secteur minier au Burkina Faso et au-delà de nos frontières.


Bonne consultation

 

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Les Membres du Conseil d’Administration



 Poste
 
Sociétés
Représentant
Nom Prénoms
1 Président ESSAKANE BARRY Réné Tidiane
2 Vice Président SEMAFO DABIRE Laurent
3  Vice Président BISSA GOLD OUEDRAOGO Christian
4  Vice Président GRYPHON BARRY Adama
5  Vice Président OREZONE DERRA Ousséni
6 Vice Président SOMIKA KINDO Adama
7 Vice Président AUMS
8 Président d’honneur SEMAFO OUEDRAOGO Elie Justin
9 Trésorier Général SOMITA BOCOUM Halidou
10 Trésorier Général Adjoint AVOCET MINING BAMBARA Cheick
11 Secrétaire aux Relations Extérieures B2 GOLD ZOUNGRANA G. Raphael
12 Secrétaire Adjoint aux Relations Extérieures RIVERSTONE KARMA ZONGO Boenzemwende
13 Secrétaire à la formation KABRE Cyrille
14 Secrétaire Adjoint à la formation NANTOU MINING SA PALENFO Ditil Moussa
15 Secrétaire à la promotion du genre dans le secteur minier PREDICTIVE DISCOVERY TAMBOURA Marie-Rose Aida
16 Secrétaire Adjoint à la promotion du genre dans le secteur minier AMARA MINING NANA Djénéba
17 Commission RH et Règlementation du Travail  HOUNDE GOLD OPERATION SA NAON François Kobena
18 Commission Fiscalité et Législation ROXGOLD TIDJANI Issoufou
19 Commission Achat-Logistique MNG
20 Commission RSE et Relation Communautaire SORO Adama
21 Commission Sécurité SEMAFO SENECHAL Philippe
22 Commission Environnement AMPELLA OUÉDRAOGO Saïdou
23 Représentant (e) du Ministère en charge des Mines SOMÉ Sylvain
24 Représentant (e) du Ministère en charge des finances TAPSOBA Jules
24 Représentant (e) du Ministère en charge de l’environnement
 
OUATTARA Youssouf

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